Or, en recevant un colis, qui n’a jamais été surpris par le volume d’espace vide ? Un gaspillage onéreux pour les entreprises expéditrices, qui laisse également son empreinte sur la planète. Alors, ce sujet est-il une priorité pour les acteurs du secteur ?
Découvrez dans cette étude en partenariat avec Forbes Insights comment mettre davantage l’accent sur la gestion de l’espace vide, prendre des mesures adaptées pour le réduire. Ainsi, réalisez des économies substantielles, tout en améliorant votre empreinte environnementale.
L’espace vide représente en moyenne 24% du volume des conteneurs expédiés par bateau, soit l’équivalent de 61 millions de conteneurs EVP (équivalent vingt pieds) par an. Pas étonnant lorsque l’on sait que la part du vide peut atteindre 64% dans les emballages de produits en verre vendus en ligne, par exemple.
Chaque année, 122 millions de tonnes de dioxyde de carbone sont émises en raison du transport de vide dans les conteneurs acheminés des sites de fabrication aux ports d’arrivée, soit l’équivalent des émissions de CO2 de la Belgique ou de l’Argentine.
Plus des deux tiers des cadres dirigeants sondés (71%) estiment que les consommateurs sont soucieux de l’empreinte environnementale des emballages. Cependant, de nombreuses entreprises ne semblent pas établir de corrélation avec l’expérience client qu’elles proposent, alors qu’il s’agit d’un vrai vecteur de fidélisation.